Avant de commencer à m'intéresser aux réseaux sociaux numérique (ou web 2.0), j'ai voulu enrichir mes connaissances en sociologie et, notamment, en réseaux sociaux physiques. Ainsi, j'ai pu découvrir le rôle central d'une telle analyse transposée aux réseaux sociaux numériques.
De ce fait, je vous propose les résultats résumés de mes recherches sur les liens faibles, liens forts et les trous structuraux.
Bernard Fallery, parle des liens forts et des liens faibles en ces termes : « Les liens forts autour d’un individu forment un réseau dense, et les liens faibles un réseau lâche. Les liens forts sont sources de confiance et procurent une certaine sécurité, alors que les liens faibles donnent accès aux informations disponibles en dehors des cercles sociaux familiers »
Puis, un troisième terme : les trous structuraux, décrit par Mark Granovetter. On comprend les trous structuraux par cette phrase de Mark Granovetter : « On peut dire que des individus exploitent des « trous structuraux » dans les réseaux aussi longtemps qu’ils constituent le seul canal à travers lequel l’information ou d’autres ressources peuvent circuler d’une partie d’un réseau à une autre. » (Mark Granovetter, L’influence de la structure sociale sur les activités économiques)
Ces trois termes, compris dans leur ensemble, permettent d’apprécier de nouveaux enjeux dans la mise en place d’un réseau social, au niveau numérique. Il faut alors prendre en compte ces critères afin de savoir vers quel type de réseau nous nous orientons. Et, l’utilisation à son avantage des trous structuraux apparait ici comme un avantage concurrentiel lorsque l’on ajoute une orientation professionnelle aux réseaux sociaux numérique.
Cela ouvre la voie vers une utilisation précise de cet avantage concurrentiel, que je vous livrerais plus tard !
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